... Ah, tu veux vraiment que je commences ? Bon d'accord.

6 novembre 2007

... Ah, tu veux vraiment que je commences ? Bon d'accord.

moimoi Alors, la voilà, Laurence de son vrai nom (le nom de famille, elle le garde privé question de soupoudrer un peu de magie et de mystère autour de son humble personne). En fait, elle aime bien Laurence comme nom même si c'est plutôt commun, mais elle préfère les x millions de surnoms impossibles qu'on lui donne et qu'elle se donne elle même : lolo, dans son jeune temps (elle aime pas du tout, mais si l'envie vous en prends de vous prendre une enclume, à vous de voir), puis olo, parce que sans le« L » c'est beaucoup mieux et que c'est vachement subliminal comme mot visuellement parlant, ensuite quelques noms genre olo boutch pour des blogs ou pour jouer online (style Diablo II, elle ne connue pas une très longue carrière dans le domaine malheureusement), laurenze avec un « Z » très important et finalement, onomatopoia, sans grande raison. Parce que c'est un joli mot autant dans sa sonorité que sa signification. Bref, passons, je vais pas vous écrire une bible quand même. Lau-nomatopée (hohoho mes camarades, quel jeu de mot d'une qualité digne des calembours de ce cher prof de mathé 536) a eu un parcours bien à elle ; née et vécue une grande partie de sa vie dans le froid hiver du nord québécois avant de venir s'installer dans le funkytown de St-Jean, où elle fit la rencontre des merveilleuses femelles et jeunes hommes de sa vie et d'un chat qu'elle adore ♥. Elle aime l'école, quand l'école l'aime aussi, mais elle se dit intéressée par tout ce qui est langues (M'ouais... bon ça elle charie un peu parce que la grammaire française ça fait rire personne), histoire ♥, géographie, actualité, éthique... Elle est plus ou moins / pas du tout une fille de sciences, quoique obligée de l'être pour un an pour cause de parents arriérés. Et quand le week-end finit par arriver, elle sort un peu, voit son chat, hang out avec les gens, écoute un film, lit un peu quand elle a envie d'être tranquille deux secondes, vie des petits moments de débauche éphémère parfois regrettée en partie mais inoubliable, et bon, c'est ça la vie. Laurence s'intéresse à chaque forme d'art ou presque, et essaie de mieux les apprécier et les comprendre en se renseignant un minimum, elle-même n'est pas une grande artiste, quoiqu'elle a fait un peu de musique, et qu'elle essait de temps à autres la photo, le dessin, la peinture et l'écriture. En fait, elle aimerait bien pouvoir rêver d'être écrivaine un jour, ça serait son pied à elle (référence à l'expression populaire « prendre son pied » hohoho). Elle est bien curieuse il faut dire et elle aime la découverte ; rapide exemple comme ça pendant qu'on en parle : un jour, une demoiselle dont je tairai le nom de peur de représailles me fit vent de ce qu'on appelle « Streetstyle ». Le début de la fin, la voilà presqu'addict à ces blogues où se côtoient tous les genres de beauté vestimentaire. Côté vêtements, c'est pas mieux. C'est que si elle pourrait, des trucs genre ballerines, elle en achèterait comme le facteur s'arme de nouvelles chaussures chaque mois pour gambader avec fière allure dans la rue. Sauf que t'enlèves le côté pratique et durable de la chose. Tu te retrouves alors avec les ampoules aux pattes mais un pied que mignon même tout rougi et endolori. Pas grave, ce sont les risques du métier, elle vise d'ailleurs la dizaine de paires avant 2008. Côté musique, elle a eu sa petite phase « heavy metal » de 11 à 15 ans, qu'elle chérie toujours un peu aujourd'hui (on ne réussit jamais complètement à séparer le panda de sa forêt de bambous ou le chimpanzé de ses bananes) même si maintenant elle a des goûts beaucoup plus ouverts et variés, qu'elle tentera d'exposer sur ce blogue. Mais Laurence, pas de cris / pas de larmes, n'est pas parfaite, elle possède d'inombrables défauts comme par exemple un manque flagrant de synthèse ; elle pourrait parler, parler... Ou écrire, écrire... Comme ça, durant des heures. Mais elle va arrêter de peur de causer un trop haut taux d'infections occulaires chez ses lecteurs pour cause de rétine surexposée. Le reste, elle vous laissera le découvrir au fil des pages.